Quelles sont les conditions et les démarches que tu dois effectuer en vue d’obtenir le titre de séjour qui te permettra de réaliser ton projet ?

L’étudiant ressortissant d’un état non membre de l’Espace Economique Européen (hors EEE) devra obtenir une Autorisation de Séjour Provisoire (ASP) pour pouvoir venir étudier en Belgique. Il doit pour ce faire remplir plusieurs conditions.

La demande doit se faire soit à:

  • l’Ambassade ou au Consulat belge dans le pays d’origine;
  • l’Administration Communale en Belgique.
Via l’Ambassade ou le Consulat belge

Les documents suivants doivent être fournis :

– un document de voyage dans lequel un visa peut être apposé et dont la durée de validité est supérieure à 12 mois (p.ex. un passeport);

– un formulaire de demande de visa complété et signé;

– sauf si vous êtes dispensé, la preuve du paiement complet de la redevance;

– une attestation  d’inscription ou de pré-inscription ou encore d’admission dans un établissement d’enseignement organisé, reconnu ou subsidié par les pouvoirs publics (autres possibilités voir ci-dessous dans les conditions d’études) ;

– la preuve que vous remplissez les conditions pour accéder à l’enseignement supérieur, c’est-à-dire, vos diplômes et relevés de notes, une attestation de prise en compte de votre demande d’équivalence de diplôme ou la décision ou dépêche d’équivalence;

– une preuve d’affiliation à une assurance maladie couvrant tous les risques en Belgique, soit auprès d’un organisme privé, soit auprès d’une mutualité agréée;

– une preuve de moyens de subsistance suffisants;

– un certificat médical attestant que vous n’êtes pas atteint d’une des maladies pouvant mettre en danger la santé publique;

– si vous avez plus de 21 ans, un certificat attestant l’absence de condamnations pour crimes ou délits de droit commun.

Via l’Administration Communale

La demande peut se faire directement en Belgique lorsque :

 L’étudiant est déjà admis ou autorisé à séjourner plus de 3 mois en Belgique (carte A) et  remplit toutes les conditions d’octroi d’une autorisation de séjour pour la poursuite de ses études;

 l’étudiant est dispensé de l’obligation de visa pour un séjour n’excédant pas 3 mois,
soit en raison de sa nationalité,
soit parce qu’il possède un titre de séjour permettant l’entrée sans visa,
soit parce qu’il est en possession d’un visa D en cours de validité.

La liste des pays tiers dont les ressortissants sont exemptés de l’obligation de visa et la liste des titres de séjour délivrés par les Etats Schengen permettant l’entrée sans visa sont consultables ici : 

https://sif-gid.ibz.be/FR/sans_visa.aspx

 En cas de circonstances exceptionnelles. l’empêchant ou rendant très difficile son retour au pays d’origine, et ce même de manière temporaire

Il faut alors utiliser la procédure de « changement de statut ». Il doit en outre être en possession d’une attestation d’inscription définitive en qualité d’étudiant régulier et résider effectivement sur le territoire de la commune auprès de laquelle il introduit sa demande;

Les conditions d’études

Les études doivent se faire soit :

– dans l’enseignement supérieur de plein exercice (type court, type long, universitaire) dispensé dans un établissement qui est organisé, reconnu ou subsidié par les pouvoirs publics ;

– dans l’enseignement à horaire réduit, à condition que l’étudiant justifie que ces études constituent sonactivité principale et qu’il s’agit de la préparation ou du complément d’un enseignement de plein exercice ;

– par une année préparatoire à l’enseignement supérieur (telle qu’une 7e année spéciale en « Sciences » ou « Mathématiques », ou une année visant à approfondir la connaissance d’une de langue nationale) ;

Attention: dans l’enseignement officiel supérieur de type court ou long, seul 1% d’étudiants hors EEE régulièrement inscrits sont pris en compte pour le financement de l’établissement scolaire. Celui-ci plafonne donc les inscriptions d’étrangers hors EEE pour ne pas dépasser ce petit pourcentage, ce qui restreint les places disponibles.

– soit dans l’enseignement de promotion sociale, si l’établissement est reconnu, subsidié, ou organisé par les pouvoirs publics et les cours sont de niveau supérieur (sauf s’il s’agit d’une année de niveau secondaire suivie afin d’approfondir la connaissance d’une des langues nationales) ;

– soit dans un établissement privé qui dispense un enseignement qui n’a pas d’autre équivalent en Belgique dans l’enseignement organisé, reconnu ou subventionné par les pouvoirs publics. Si l’étudiant prévoit de faire ce type d’études, le droit au séjour n’est pas automatique. L’administration fera un examen individuel de la demande en tenant compte de plusieurs critères objectifs.

Attention : les études secondaires complémentaires (actuellement seules les études pour obtenir un « brevet d’infirmier » sont organisées) ne donnent pas droit à une autorisation de séjour.

Preuves du statut d’étudiant

Le statut d’étudiant est démontré soit par :

  • une attestation d’inscription en qualité d’étudiant régulier ;
  • une attestation d’admission ou de préinscription aux études ;
  • une attestation d’inscription en vue d’un examen d’admission ;

Attention : dans les 2 derniers cas, dans un délai de 4 mois de l’entrée sur le territoire, une nouvelle attestation doit confirmer que l’étudiant est bien inscrit en qualité d’étudiant régulier.

Les conditions de santé

Un certificat médical prouvant que l’étudiant n’est pas atteint de maladies graves doit être produit.

La loi définit comme maladies graves : tuberculose, syphilis, autres maladies infectieuses ou parasitaires contagieuses, toxicomanies, altérations psycho-mentales grossières.

Les conditions de sécurité

L’étudiant ne peut être susceptible de poser des problèmes d’ordre public à la Belgique. A partir de 21 ans, il doit donc apporter un extrait de casier judiciaire constatant l’absence de condamnation pour crimes ou délits de droit commun, de moins de 6 mois et couvrant au minimum les 5 dernières années.

Malgré cela, l’accès au territoire peut être refusé, si l’étudiant est notamment considéré comme pouvant compromettre la tranquillité publique, l’ordre public ou la sécurité nationale ou s’il a été expulsé ou renvoyé de Belgique depuis moins de 10 ans.

Les conditions financières

Les moyens financiers dont dispose l’étudiant doit pouvoir couvrir ses soins de santé, ses frais de séjour, d’études et de rapatriement pour au moins une année académique. En 2024-2025, l’Office des Étrangers considère qu’une somme de minimum 803 €/mois est nécessaire.

Cette autonomie finançière peut être démontrée soit :

  • Par une  attestation déclarant que l’étudiant est bénéficiaire d’une bourse ou d’un prêt ;
  • soit par un engagement de prise en charge, pour un an, ou pour la durée des études, par une personne physique ou morale belge ou étrangère, résidant en Belgique ou à l’étranger;

Attention : le garant doit disposer de ressources suffisantes stables, soit un revenu minimum de 2.851, 53 € (2.048,53 EUR + 803 € ).

  • soit par les revenus propres de l’étudiant (max. 20h/semaine de travail étudiant, permis de travail C hors congés scolaires ou pour effectuer des stages obligatoires);
  • l’étudiant démontre qu’il est propriétaire de biens immobiliers qui génèrent une rente régulière, ou qu’il possède un compte bancaire régulièrement approvisionné, dont le solde est supérieur à 9.636 EUR (803 EUR x 12) et peut être transféré sur un compte en Belgique. Une autorisation de transfert bancaire irrévocable doit être fournie.

Dès son arrivée en Belgique, l’étudiant doit ouvrir un compte et l’approvisionner régulièrement de manière à disposer chaque mois de 803 EUR net.

La prolongation de la carte de séjour ne sera accordée que si des versements réguliers ont été effectués sur ce compte durant l’année écoulée et que la somme de ces versements est supérieure à 9.636 EUR (803 EUR x12).

  • le versement d’une somme d’argent sur un compte bancaire de l’établissement d’enseignement supérieur où l’étudiant est inscrit ou admis à s’inscrire.

Certaines universités exigent que les étudiants versent sur un compte bancaire une somme censée couvrir la première année d’études. Cette somme est ensuite reversée, par tranches mensuelles, sur un compte ouvert par l’étudiant après son arrivée en Belgique.

Dans ce cas, l’étudiant dépose une attestation établie par l’établissement d’enseignement supérieur et portant sur le versement d’une somme d’argent et son reversement mensuel

Lorsque l’étudiant arrive sur place

Inscription à la commune dans les 8 jours ouvrables de l’arrivée.

Deux possibilités :

  • Si l’étudiant est bien inscrit dans un établissement d’enseignement pris en compte, il recevra un titre de séjour en principe valable un an. Il peut néanmoins avoir une validité supérieure ou inférieure à un an puisqu’il expire le 31 octobre de l’année qui suit sa délivrance (sauf rare exception, par exemple si le cycle d’étude se termine en janvier).
  • Si il fourni une attestation d’inscription à un examen d’admission, ou une attestation de demande d’équivalence de diplôme, il reçoit alors une attestation d’immatriculation valable 4 mois à dater de la date d’entrée sur le territoire, en attendant l’inscription définitive dans une école. La preuve de cette inscription définitive doit être fournie avant l’expiration de ce délai de 4 mois.

Le renouvellement du titre de séjour

Se présenter à l’Administration communale au plus tard entre le 45 et le 30e jour qui précède la date d’expiration du titre de séjour, c’est-à-dire en général avant le 1er octobre

Les documents suivants doivent être fournis :

  • une nouvelle attestation d’inscription comme étudiant régulier dans un établissement d’enseignement ;
  • une attestation certifiant que tous les examens de l’année précédente ont bien été présentés, sauf motif valable (par exemples : maladie grave, décès d’un proche, etc.) et donc en ce compris la 2ème session éventuelle;
  • la preuve des moyens de subsistance suffisants, sauf en cas de prise en charge valable pour toute la durée des études.

Le changement d’orientation

Il est nécessaire de le justifier auprès de l’Administration communale. Il n’est pas conseillé de modifier « trop souvent » son orientation, sous peine de voir son titre de séjour non renouvelé.

Le refus de renouvellement

Dans certains cas, l’Administration communale ne peut pas renouveler elle-même le titre de séjour.

Notamment :

  • lorsqu’il y a des doutes quant à la situation administrative ou à l’inscription de l’étudiant ;
  • si l’étudiant est aidé financièrement par un CPAS ;
  • si le garant n’est plus le même ;
  • si les propres revenus de l’étudiant changent ;
  • si le séjour étudiant dure depuis plus de 6 ans ;
  • etc.

La prolongation excessive des études ou l’absence aux examens sans motif valable, entraînent presque automatiquement un OQT.

Prolongation du séjour à la fin des études

L’étudiant peut demander la prolongation de son séjour à la fin de ses études afin de pouvoir rechercher un emploi ou fonder une entreprise en Belgique. Les conditions découlent de la directive 2016/801 et sont les suivantes : 

  • rechercher un emploi ou fonder une entreprise en lien avec les études accomplies
  • avoir obtenu un diplôme reconnu en Belgique durant l’année académique écoulée (niveau bachelier au minimum )
  • apporter la preuve de moyens de subsistance stables et suffisants. Le montant de référence est fixé à € 8 760 net, c’est-à-dire, le montant dont un étudiant doit disposer tous les mois, multiplié par 12
  • ne pas tomber à charge des pouvoirs publics
  • payer la redevance (voir supra);
  • après 3 mois de prolongation de séjour, prouver une réelle chance d’être embauché ou de fonder son entreprise

Le titre de séjour qui couvre la prolongation à une durée de 12 mois.

Quid en cas de refus de séjour ou d’Ordre de Quitter le Territoire

Lorsque l’autorisation de séjour est refusée, un recours en annulation peut être introduit endéans les 30 jours auprès du Conseil du Contentieux des Etrangers. Ce recours est suspensif : l’étudiant ne peut donc être éloigné du territoire tant qu’il n’a pas été examiné.

L’étudiant, dans l’attente d’une décision sur le fond, obtient alors un séjour temporaire, matérialisé par le document « annexe 35 ».

Si un OQT est délivré  pendant la durée du séjour, le recours est identique mais doit alors s’accompagner d’un recours en suspension. Le séjour n’est donc pas assuré pendant la procédure.

Le Médiateur Fédéral peut aussi être interpellé : http://www.federaalombudsman.be/fr

Philippe De Bel

INFOR JEUNES LAEKEN

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739 commentaires

  1. Jordane a dit :

    Bonjour Admin
    Je suis étudiante en Master 1 traduction et jaimerais changer de filière et de cycle. En fait j’aimerais recommencer mon bachelier mais en communication ou marketing ou soins infirmiers. Je me demande bien si mon séjour sera renouveler en cas de changement de cycle et de filière? Et si en cas d’échec le cotard 45credits en deux ans sera appliqué? ( alors que je suis retournér en en cycle bachelier)

    1. admin a dit :

      Bonjour Jordane,
      Le ministre peut délivrer un ordre de quitter le territoire si un étranger prolonge ses études de manière excessive compte tenu de ses résultats.
      https://dofi.ibz.be/sites/dvzoe/FR/Guidedesprocedures/Pages/Prolongation-des-%C3%A9tudes-de-mani%C3%A8re-excessive-compte-tenu-des-r%C3%A9sultats.aspx

  2. United a dit :

    Bonjour,
    Je suis un étudiant HUE et j’ai une question à propos de l’AR du 23 avril 2018 sur la prolongation excessive des études, plus précisément concernant les années de formation.

    Est-ce que les années de formations concernent uniquement les années universitaires en Belgique ou est-ce que les années universitaires à l’étranger (en France par exemple) sont comptés ?

    Je précise que je n’ai eu aucune dispense.

    Merci à vous

    1. admin a dit :

      Bonjour United,
      Il s’agit des années d’études accomplies en Belgique.

  3. sonya a dit :

    bonjour admin
    je suis ressortissante d’un pays HUE et j’ai déposé mon dossier d’admission à l’université de liège. seulement ils m’ont répondu en me disant que mon dossier était incomplet parce que je n’ai pas joint de plan de financement et me demande un engagement de prise en charge et signée avec mention solvabilité suffisante (qu’est ce que cela signifie). ma préoccupation est la suivante
    1. est ce qu’une personne morale peut signer ma prise en charge?
    2. si oui comment si prendre et quels sont les documents à fournir

    1. admin a dit :

      Bonjour Sonya,
      Il doit s’agir d’une personne physique belge ou étrangère domiciliée ou pas en Belgique. C’est l’Ambassade/Office des étrangers qui va déterminer si la solvabilité est suffisante, lors de ta demande de visa.
      l’annexe 32 est disponible via l’administration communale du garant, si celui-ci habite en Belgique ou via le poste diplomatique ou consulaire belge à l’étranger.

  4. wissal a dit :

    Bonjour madame, monsieur,
    Très utile ce forum, je vous en remercie!

    Est- il possible lors de la déclaration de mon arrivée à la commune de demander d’être hébergée à paris chez ma soeur qui est ma garante pour toute la durée de mon cursus doctoral. Car le doctorat ne demande pas beaucoup de présence à la fac par conséquent je ne serai pas obligée de louer un logement sauf pour les quelques jours par mois où je serai sur LLN pour des cours ou des séminaires.

    Je suis originaire de Tunis et j’entame un cursus doctoral de 4 ans à l’UCL, louvain la neuve. Je viens de m’inscrire. Je débarque sur LLN la première semaine d’avril. Tous mes papiers sont en règle mon Visa D et tout mon dossier.

    Merci infiniment.

    Bien à vous,

    1. admin a dit :

      Bonjour Wissal,
      Tu n’es pas obligée de résider en Belgique même si tu y étudie. Tu peux loger dans un pays limitrophe et faire la navette jusqu’à la Faculté quand cela s’avère nécessaire. Tu dois bien vérifier que tu peux séjourner librement en France, selon la législation en vigueur dans ce pays.

      1. wissal a dit :

        Merci beaucoup 🙂

  5. Bonjour,
    Je viens vers vous car j’ai besoin d’éclaircissement.
    Je suis étudiante hors ue et je fais des études de master pour être professeure de français auprès d’un public non francophone. J’apprends actuellement le néerlandais car j’aimerais travailler comme professeure de FLE en flandres.
    Mes questions:
    -Est-ce que l’enseignement en Belgique est ouvert aux non-belges détenteurs d’une carte de séjour limitée?
    Si oui,
    -Quelle est la procédure à suivre?
    – Sous quel régime travaille-t-on?

    Cordialement,

    1. Bonjour Biss,
      D’un réseau d’enseignement à l’autre, et parfois d’un pouvoir organisateur (PO) à un autre, les procédures varient, les formulaires à remplir et démarches à accomplir ne sont pas les mêmes pour toutes les écoles.
      Pour toutes les infos : http://www.enseignement.be/index.php?page=0&navi=153

  6. Merci beaucoup pour votre réponse.

    il semble que la règle sur les cours de doctorat soit silencieuse parce que le doctorat est basé sur des recherches pas sur les crédits

    1. Bonjour Mario,
      En effet, mais a priori un OQT sera plus difficile à délivrer en l’absence de règles claires.

  7. Bonjour

    Je suis etudient en doctorant depuis plus de 7 ans. J’ai introduit ma demande de renouvellement de ma carte d’identité le 13 décembre mais je ne l’ai pas encore reçue. Je ne sais pas ce qu’il advient de mon dossier.

    Comme mon doctorat dure plus de 7 ans, est-il possible de me donner l’ordre de quitter le pays? Chaque année, je reçois un résultat positif

    1. Bonjour Mario,
      Un OQT peut être délivrer si les études se poursuivent de “manière excessive”.
      Voici ce que l’Office des Etrangers entend par là :

      •L’étudiant n’a pas obtenu au moins 45 crédits à l’issue des deux premières années de sa formation de graduat ou de bachelier.
      •L’étudiant n’a pas obtenu au moins 90 crédits à l’issue de la troisième année de sa formation de graduat ou de bachelier.
      •L’étudiant n’a pas obtenu au moins 135 crédits à l’issue de la quatrième année de sa formation de bachelier.
      •L’étudiant n’a pas réussi sa formation de graduat de 90 ou 120 crédits à l’issue respectivement de sa troisième ou de sa quatrième année d’études.
      •L’étudiant n’a pas réussi sa formation de bachelier de 180 ou 240 crédits à l’issue respectivement de sa cinquième ou de sa sixième année d’études.
      •L’étudiant n’a pas réussi sa formation de bachelier de spécialisation (« bachelier après bachelier ») à l’issue de sa deuxième année d’études.
      •L’étudiant n’a pas obtenu au moins 60 crédits à l’issue de la deuxième année de sa formation de master (associée ou non à un programme de transition ou préparatoire).
      •L’étudiant n’a pas obtenu au moins 120 crédits à l’issue de la troisième année de sa formation de master (associée ou non à un programme de transition ou préparatoire).
      •L’étudiant n’a pas réussi sa formation de master de 60, 120 ou 180 crédits respectivement à l’issue de sa deuxième, de sa troisième ou de sa quatrième année d’études. Si la formation de master est associée à un programme de transition ou préparatoire d’au moins 30 crédits, ces délais sont prolongés d’une année d’études.

      Lors du calcul des crédits, il est tenu compte des crédits obtenus dans la formation en cours et de ceux acquis lors des formations antérieures pour lesquelles une dispense a été accordée dans la formation en cours.

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