Pour encadrer les élèves, la Ministre a pensé aux professeurs (nommés ou engagés définitivement) de morale et de religion risquant de perdre leur emploi (une partie de leurs heures de cours passant à la trappe).
Ceux qui disposent d’un titre pédagogique seront prioritaires sur les collègues (avantage ici pour les professeurs de morale). A défaut d’enseignant nommé, ce sont les professeurs de morale et de religion temporaires qui prendront le relais – ou, faute de mieux, tout enseignant, à défaut par un membre du personnel auxiliaire d’éducation, ou toute personne désignée par le pouvoir organisateur ou le chef d’établissement seulement pour l’accompagnement.