Plus de 7000 décisions de justice n’ont pas été respectées par l’état. Ce qui n’empêche pas celui-ci d’envoyer sa police pour réprimer ceux qui respectent le droit des réfugiés.
Depuis dimanche 12 mars, le futur centre de crise fédéral est occupé par des demandeur.euse.s d’asile et des citoyen.ne.s solidaires pour permettre un hébergement d’urgence.
Vidéo: Réseau Ades